Nainwak's World

[le p'tit hulk]

Bijour tout le monde...
Pour ceux qui s'ennueraient... et qui aiment bien lire j'ai trouvé une activité... lire mon BG !

En effet, Back ground signifie, je sais pas extactement mais en tout cas, ça décrie la vie d'un personnage...

Je l'ai écrite pour le futur World of warcraft qui va tout déchirer et donc je raconte la vie de mon elfe... dsl de vous avoir trahi...

alors voilà j'aimerai savoir ce que vous en pensez et ce en critiquant... (oui oui ) mon texte...
Je n'ai que 14ans pour info bonne lecture .

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A deux ans, je pris connaissance de mon prénom… "Ridzel"

« Maman, Maman ? je m’appelle Ridzel ?
- Oui, mon chéri… c’est ton prénom. »

J’étais dans ses bras, et je venais de me rendre compte que le monde était bien plus grand que ma maison.
C’était le soir, le soleil allait se coucher ; une odeur forte d’humus remontait dans l’arbre et parfumait la tour de guet, celle où j’avais vécu depuis plus de 2 ans, je n’étais jamais descendu de cet arbre.

Mes yeux commençaient à se fermer quand soudain quelqu’un frappa à la trappe d’entrée ; le code secret fut réalisé avec succès, c’était donc mon père… En effet il revenait une fois tous les mois et ramenait ses "trophées"…
Cette fois ce fut une tête de Tauren mâle. Oui, mon père était un chasseur elfe… J’en étais fier ; mais je ne pouvais pas le dire à mes amis, en fait je n’en avais même pas… Aussi je ne devrai même pas exister ; ma mère m’avait expliqué que les prêtresses d’Elune n’avaient pas le droit d’avoir d’enfants… Allez savoir pourquoi…

Quelques semaines plus tard, un petit écureuil me rendit visite, je commençais donc à le caresser : il émettait des petits grognements, pour le moment incompréhensible, mais j’étais persuadé que j’arriverai à le comprendre.

Durant un mois entier, il venait me voir et me faisait part de ses petites aventures…
« Hier soir, j’étais en train de récupérer le gland que j’avais caché il y a un mois quand tout à coup, un cri perçant déchira l’obscurité et ce son se rapprochait de moi… Je dus fuir et me réfugiai dans mon trou d’arbre qui faisait office de… maison.
- Mais qu’est ce qui te poursuivait ?
- Un rapace ! C’est mon pire ennemi !
- C’est quoi un ennemi ? Je n’ai jamais entendu ça…
- Et bien c’est quelqu’un qui ne t’aidera jamais !!! Et qui veut ta mort…
- Mais je n’en ai jamais vu…
- Et j’espère que tu n’en verras jamais. »

Ma cinquième année entre les arbres de ma forêt, aucune branche n’avait de secrets pour moi ainsi j’acquis une vivacité et une dextérité que même mon ami l’écureuil avait du mal à égaler. Nous prenions plaisir à se courser ; toujours plus haut, toujours plus vite…
C’était le début de la liberté…

Cette liberté, je pouvais en jouir toute la journée car ma mère était l’une des prêtresses du temple d’Elune et devait pratiquer certains rites au temple toute la journée.
Elune, notre déesse, veillait constamment sur moi, et en confiance je m’aventurais bien au delà du permis.
Ainsi un jour, je me suis décidé à braver la grande distance entre notre arbre-maison et le lieu de prière. En cachette, avec mon ami l’écureuil, nous avons escaladé l’arbre sacré et avons surpris les prêtresses dans leurs libations.
Mais au retour, ce qui devait être une gentille ballade, s’est transformée en aventure dangereuse ! Un loup croisa notre chemin… Aucun arbre à proximité, aucun bâtiment… Deux solutions s’offraient à nous ; soit retourner sur mes pas sans faire de bruit… ou alors passer, invisibles et silencieux, près du loup...

C’est la seconde solution que je choisis donc… Car je devais rejoindre la forêt qui se trouvait derrière cette "bestiole".

Je demandais donc à mon ami :
« Est-ce que c’est ça un ennemi ?
- Et bien maintenant il faut voir s'il nous laissera passer ou alors si il nous attaquera… »

Le loup se trouvait au dessus de sa victime et la déchiquetait. Pendant le combat, une dague avait volé et se trouvait à deux pas de moi. La bestiole assoiffée de sang m'aperçut.
De la gueule noire un grognement sinistre s’échappa : « gggrrrr manger ggggrrr petit elfe grrrrrr ». Mon ami l’écureuil, pris de panique, s’enfuit. J’avançais de quelques pas, l’œil rivé sur le monstre. Une seule idée en tête : ramasser l’arme. Je la saisis, elle mesurait environ 30 pouces, des écritures elfiques y étaient inscrites. Pas le temps de me poser de questions, la dague semblait m'appeler.
Les runes scintillaient joyeusement dans la clarté de cette plaine. Le loup s’avançait. De la bave teintée de rouge coulait, ses babines tremblaient de désir...

Le loup était pratiquement au corps à corps, il essaya de me mordre la jambe, j’esquivai rapidement et essayai de lui asséner un coup dans le cou, mais il me boula et m’envoya à terre. Je me relevai, il s’était arrêté et regardait la dague. Il recula peu à peu, essayant de m’éviter du regard. Soudain, d’une pulsion démoniaque, il se baissa, prit un élan puis me sauta dessus.
Par réflexe je tendis ma dague vers le loup et je fermai les yeux…
Le silence… Je sens un poids sur mon corps, je m’affaisse. Du sang s’écoule. Chaud. Poisseux. Mon cœur bat à la chamade, comme dans un monde irréel…

« Suis-je mort ?


-Mais naaaannn ! »

C’est mon petit ami l’écureuil qui me soufflait à l’oreille.

J’ouvris les yeux, je vis des yeux vitreux qui me fixaient, l’abominable bestiole avait succombé à mon coup qui le toucha subitement. Ma poitrine toute ensanglantée, et mes habits déchirés, je me relevai et repartis à la maison, soulagé d’avoir tué cet effronté…