Nainwak's World

[Vince]

Schoppenhauer : "les femmes sont comme les miroirs, elles réfléchissent mais ne pensent pas"

dsl

[Ginn]

"Savoir que l'on sait ce que l'on sait, et savoir que l'on ne sait pas ce que l'on ne sait pas, voilà la véritable intelligence."

"Ne te crois point si important que les autres te paraissent insignifiants."

"L'ensemble de ce qui compte ne peut pas être compté, et l'ensemble de ce qui peut être compté ne compte pas."

"Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine, mais pour l'univers, je n'ai pas de certitudes absolue."

"Cesser de fumer est la chose la plus facile... Je sais ce que c'est : je l'ai fait 50 fois."(lol)

[Deus Ex Makina]

"il existe 10 sortes de personnes : celles qui comprennent le binaire et celles qui ne le comprennent pas "

dans le meme genre :

"il existe 3 types de mathematiciens : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas !"

quoi ? c'est pas philosophique ? euh ... pour moi si !!

[Frór]

[I GuilliuS I]

Phrase philosophique de mon fils en regardant un de ses jouets :
Y'a un trou dans l'trou

[Nain-ternet]

[c moiiiii]

de mon prof de philo:
"la confiture est aux biscottes ce qu'est les femmes aux hommes !!!"
héhéhéhéhhéhé
sinon :
"l'homme n'est pas fait pour trvailler, la preuve, àa le fatigue !!!!"

[cacahueteman]

[cacahueteman]

Sinon, puisque vous semblez têtus, voici quelques unes de mes préférées :

C’est là justement ce qu’il y a de fâcheux dans l’ignorance : on n’est ni beau, ni bon, ni intelligent, et pourtant on croit l’être assez. On ne désire pas une chose quand on ne croit pas qu’elle nous manque. (Platon)

Tandis qu’on diffère de vivre, la vie court. (Sénèque)

La chute n’est pas un échec, l’échec est de rester là où on est tombé. (Socrate)

Si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors. (Tagore)

Oui, je sais, j'aime bien la philosophie antique. Elle a au moins le courage d'affirmer, et ne se contente pas de douter ou de réfléchir sur des choses abstraites.

[cacahueteman]

Et de trois! Non non, je floode pas
C'était juste pour proposer à votre réflexion quelques phrases de moi-même :

[...] l’innocence est un bien que l’on perd avec le temps sans s’en rendre compte et qu’il est nécessaire d’avoir perdu jusqu’à un point de non-retour pour avoir envie de le retrouver [...] (Poupées russes)

Comment exercer un pouvoir sur le monde si je ne peux pas le faire sur moi-même ! (Poupées russes)

L’amour, cette bulle de cristal sublime et transparente, cette bulle contenant des idéaux visibles mais intangibles, s’est brisé entre mes mains quand j’ai voulu les toucher : il était vide, plein de vide, et ses éclats tranchants m’ont lacéré les mains. Je comprends tout, maintenant : qu’ils sont laids, ces éclats, qu’ils reflètent ce qui ne devrait pas l’être, miroirs concaves déformant une réalité assez abominable pour qu’on se passe de la mentir dans une métamorphose… fausse… Fausse ! Désespérément fausse. (Poupées russes)

Profite de ce que toi [le voyageur imaginaire], tu peux fuir dans l’espace pour échapper au temps, que tu contrôles, d’une certaine manière ; nous, nous sommes incapables de revenir en arrière ou de nous projeter dans l’avenir. Nous n’avons aucun pouvoir sur nos sentiments : esclaves de l’oubli. (Poupées russes)

[...] il n’y a pas de choix, car le possible n’est pas. Il n’y a pas de liberté, il n’y a qu’une vie à vivre, une vie dont on ignore le futur déjà tracé parce qu’on s’ignore soi-même et qu’on ignore le monde. Je veux voyager pour découvrir ce que me réserve le voyage, ce que je me réserve, ce que le monde me réserve. (Poupées russes) C'est effectivement assez proche de la phrase de Spinoza...

L’existence, à moins de croire en un dieu, est bornée, finie, dans toutes les directions. Ainsi le corps : il se meut, change de forme, mais ses capacités sont terriblement étroites en réalité, et il est si petit… Pourtant, sans lui, l’esprit serait incapable de se développer. La limite, c’est la vie. A quelque niveau que ce soit, tout ce qui est relationnel met en jeu des limites. Quel est donc le sens de la vie, dans cette pessimiste conscience de finitude ? Le propre de la limite est d’être repoussée (et non pas franchie, cela est impossible) : si ce qui veut vivre naît de la limite, il lui faut aussi être mouvant. (Poupées russes)

[...] dans nos bons comme dans nos mauvais moments, nous avons toujours su deux choses : tout d’abord, le bonheur s’incarne dans le futur aussi peu qu’il dépend de nous, aussi faut-il l’accepter comme un présent – dans tous les sens du terme – et en jouir comme d’une chose terrestre et éphémère ; ensuite, le bonheur ne réside jamais en l’espoir d’un plus grand bonheur, mais en l’espoir de son retour : et il est impossible que ce soit ce retour qui rende déjà heureux, non, ce qui rend heureux, c’est la naïveté même de l’espoir, le pouvoir de l’imagination qui fantasme un possible en réel, sans en figer les traits, cette chose irrationnelle et enfantine qui forge l’homme et le pousse à la vie, avec ses petites mains et sa voix fluette de gamin décidé à vous montrer sa surprise, et auquel vous souriez, vous ne résistez pas, vous dites gentiment d’arrêter – sans souhaiter qu’il s’arrête vraiment, le simple fait de savoir qu’il a une surprise à vous montrer, dont vous ne savez rien de précis, le simple fait de savoir qu’il en est impatient et heureux, étant justement le bonheur. Enfermez l’enfant, il poussera les cris pitoyables de l’innocence qui ne comprend pas, et si vous êtes assez inhumain pour ne pas lui ouvrir au bout de quelques temps, ne cherchez plus, c’est que vous êtes mort. Protégez cet enfant, chérissez-le, il est si imprudent, et le monde lui fait courir tant de dangers de mort ! Protégez-le, s’il meurt, vous mourez, et la mort terrestre n’est pas belle à voir : elle se résume à l’isolement, pour être sûre que vous ne ressentiez plus rien, et à la raillerie de tout, jusqu’à nier la vie, qu’elle trouve ridicule : vous refusez qu’elle soit quand c’est vous qui n’êtes plus. (A Contre-pied)

Bon, je m'arrête là... Bon courage aux éventuels lecteurs

[Confrérie_DJMiki]

"Celui qui confesse son ignorance la montre une fois ; celui qui essaye de la cacher la montre plusieurs fois" (proverbe japonais)

"Ceux qui ne demandent rien ont tout" (Lao Tseu)

"Même avec neuf femmes, on ne peut pas faire un enfant en un mois !" (proverbe coréen)

"Qui s'endort avec le cul qui le démange se réveille avec le doigt qui pue" (Bérurier, in Cocottes-minutes, San Antonio)

[Dylandau]

Pour la phrase de base, je sais pas, mais j'aurais plus retranscrit ainsi : demande toi si tu peux réussir à voir les choses pour ce qu’elles sont vraiment, et non pas ce qu’elles paraissent être de part de regard et l’opinions des autres.
Tu n’es pas un mouton qui suit, tu es un humain qui possède sa propre faculté de voir les choses et les autres.

Des fois, c'est plus clair en français simple, sans passer par du transcandental :p

Sinon, j'en ai une aussi :

"Le Nain est un Lutin pour le Nain" (nainwak)

[Pantoufflard]

"Passes-moi le sel." (Hannah Arendt)

[Ronki]

"Un bon vivant qui philosophe est comme un animal qu'un lutin fait tourner en cercle autour d'une lande aride, tandis qu'un beau paturage vert s'étend à l'entour" Méphistopheles (Faust)

Voilà, rien à ajouter ...

[cacahueteman]

Le pire c'est qu'avec un peu de chance c'est vraiment du Arendt...

Pour Ronki : bof, je suis un bon vivant, et je gambade dans les champs tout en réfléchissant à "pourquoi". Faut comprendre Goethe, c'est la vague du romantisme allemand, il y a réaction face à l'austérité de la société instruite.

[Skalpette]

"Quidquid latine dictum sit, altum sonatur."

[cacahueteman]

Ouais, faut voir, mais le Moyen-Age c'est fini skalpette
Je traduis pour les nuls : "tout ce qui est dit en latin sonne mieux." Je trouve que le latin est une langue faite pour l'histoire. Pour le sens j'aime le français, pour les sons j'aime l'anglais, et par contre je déteste l'allemand

[Ronki]

Et dire ki en a plein des comme lui ....

[cacahueteman]

J'assume

PS : je t'aime Ronki

[Ronki]